Groupe de contact sur la piraterie au large la côte de Somalie (CGPCS) WG 5

Bienvenue du Secrétaire général

Bonjour distingués délégués,

Je suis heureux de vous accueillir au siège de l'OMI à Londres, pour la troisième session du WG 5 du groupe de Contact sur la piraterie au large la côte de Somalie (CGPCS), l'autre qui se tiendra à l'OMI.

OMI participe activement aux travaux des groupes de travail CGPCS tous et nous nous engageons à coopérer également dans les travaux du gt 5 dans son étude sur la façon de suivre la piste de l'argent et autres éléments de preuve pour identifier les organisateurs et les financiers de la piraterie. Comme beaucoup des autres groupes de travail, vous rassemblerez une large base d'expertise, tels que les organisations internationales, l'industrie et les secteurs d'application de loi, et votre tâche consistera à acquérir les meilleures idées possibles concernant le problème et de trouver des moyens tangibles pour y faire face.  L'OMI a récemment entrepris de coopérer plus étroitement pour aider les nouveaux parquet régional de lutte contre la piraterie et Intelligence Centre (RAPPIC) établies dans les Seychelles, afin d'obtenir une traction régionale par le biais de liens établis et les partenariats au sein du Code de conduite de Djibouti.
 
OMI place de grands espoirs sur les résultats qui peuvent être réalisées dans votre travail sur les flux financiers et d'autres moyens pour poursuivre les pirates « chefs » et ceux qui les soutiennent financièrement.  Le travail de suivi des flux financier est un élément fondamental d'éradiquer la piraterie au large des côtes somaliennes, parce que sans les revenus financiers, le piratage ne peut survivre.

Ainsi, je tiens à saluer le travail du groupe de travail 5 depuis sa création et son mandat à la focalisation sur les flux de financement lié à la piraterie au large des côtes somaliennes. Votre travail est très important et, même si vous êtes le dernier des groupes de travail mis en place dans le CGPCS, vous avez une tâche qui est aussi vitale que ceux précédemment établis.

Je voudrais saisir cette occasion pour mentionner brièvement les 3 OMI récemment organisé contre le piratage lié réunions ici au siège social à Londres, qui sont une certaine pertinence pour ce groupe de travail :

1. le Code de conduite de Djibouti examen ministériel s'est réuni le 14 mai cette année à ce bâtiment du siège de l'OMI afin d'assurer sa pertinence et revoir son orientation future.  Il a confirmé que certains progrès réalisés dans sa mise en œuvre.  Certaines lacunes ont été identifiées, qui, par conséquent, nous nous concentrerons sur à l'avenir à savoir le développement durable en Somalie et la protection des voies dans la zone à haut risque de l'océan indien sud-ouest de navigation.  Vendredi dernier, Mozambique signé Djibouti Code de conduite devient le 20e Etat signataire.  C'est important compte tenu de la protection des routes maritimes dans le canal du Mozambique.

2. la Conférence de renforcement des capacités pour combattre la piraterie au large des côtes de la Somalie a eu lieu le 15 mai.  La Conférence partagé des informations sur les travaux déjà effectués par les entités pertinentes de l'ONU et les organisations internationales et régionales dans le renforcement des capacités dans la région ; et a abouti à la signature de cinq partenariats stratégiques entre l'OMI et la FAO, l'ONUDC, Somalie, PAM et l'UE comme base pour notre coopération future dans le travail de renforcement des capacités dans le Code de déontologie de la Djibouti ; et

3. le débat de haut niveau du Comité de sécurité Maritime a eu lieu le 16 mai.  Le besoin d'orientation pour les entreprises privées de sécurité maritime (EMSP) pour le déploiement de personnel de sécurité privée sous contrat (PCASPs) à bord des navires a été discuté.  Ainsi, le SMC a finalisé les directives provisoires ; et le Comité a confirmé que la responsabilité ultime du permis d'armes à bord de mensonges avec l'indicateur de l'État dont le navire concerné, mais a également reconnu que la poursuite des travaux sont nécessaire sur une norme internationale pour les sociétés privées de sécurité maritime et le personnel de sécurité privée sous contrat.

Les résultats de toutes les 3 réunions offre une base solide pour progresser dans notre travail de lutte contre la piraterie continue, tant sur la réglementation et le côté de renforcement des capacités.

OMI sera, par conséquent, redoubler d'efforts en poursuivant son programme de renforcement des capacités dans la région. Le renforcement des capacités en Somalie et les pays voisins sera renforcé par la coopération entre et parmi les OMI et les Nations Unies, spécialisées des Nations Unies organismes et autres organisations internationales comme l'UE, s'inspirant de l'OMI actuel de renforcement des activités en vertu du Code de conduite de Djibouti.

Mesdames, Messieurs, nous ne devons pas oublier les gens de mer actuellement en otage par des pirates. Il est impératif qu'ils sont libérés et retournés sans danger pour leur famille.  Nos efforts à cet égard ne doivent donc pas être diminuées.
Traçage et éradiquer la piraterie financier sont des éléments importants de nos efforts pour lutter contre la piraterie au large des côtes somaliennes, et je vous souhaite une réunion fructueuse et réussie et attendons avec impatience ses conclusions.

Merci.