Cartes électroniques
Normes de rendement pour les cartes électroniques ont été adoptées en 1995, par la résolution A.817(19)), qui a été modifié en 1996 par la résolution CSM.64 (67) pour rendre compte des mécanismes de sauvegarde en cas de défaillance du SVCEI.
Autres modifications ont été apportées en 1998 par la résolution CSM 86 (70) pour permettre l'utilisation du SEVCM en mode de dessins ou modèles communautaires (carte matricielle).
Comité de la sécurité Maritime (CSM de l'OMI), à sa 73e session du 27 novembre au 6 décembre 2000 a adopté une version révisée du chapitre V (sécurité de la Navigation) de la Convention SOLAS, qui entrera en vigueur le 1er juillet 2002.
Règle 19 du nouveau chapitre V - exigences pour les équipements et systèmes de navigation embarqués permet un affichage et information système de cartes éélectroniques (ECDIS) être accepté comme satisfaisant aux exigences de transport graphique du règlement.
Le règlement exige que tous les navires, quelle que soit la taille, pour transporter les cartes marines et publications nautiques pour planifier et affichage itinéraire du navire au voyage prévu et à la parcelle et de contrôler les positions tout au long du voyage. Mais le navire doit également ramener des arrangements si on utilise des cartes électroniques entièrement ou partiellement.
Normes de performance graphique raster
SMC, lors de sa 70e session du 7 au 11 décembre 1998, a adopté des normes de rendement pour systèmes d'afficher cartes Raster, en modifiant les normes de rendement pour les cartes électroniques affichage et systèmes d'information (ECDIS), afin de permettre les systèmes à utiliser avec les cartes matricielles où les systèmes de cartes éélectroniques du vecteur ne sont pas disponibles.
Une carte matricielle est fondamentalement juste un balayage visuel d'un tableau de papier. C'est un système informatisé qui utilise des graphiques émis par ou sous l'autorité de, un service hydrographique national, ainsi que continue électronique positionnement automatique, de fournir un outil de navigation intégré.
Une carte vectorielle est plus complexe. Chaque point du graphique est numériquement mappé, permettant à l'information à utiliser d'une manière plus sophistiquée, comme en cliquant sur un élément (par exemple, un phare) pour obtenir tous les détails de cette fonctionnalité affiche.
La norme internationale pour les graphiques de vecteur a été finalisée par l'Organisation hydrographique internationale (S-57, Version 3), et l'OMI a adopté des normes de rendement pour l'ECDIS intérieur, à l'aide de cartes vectorielles, en 1995 par l'Assemblée résolution a.817.
Les amendements à la résolution a.817 État que certains appareils ECDIS intérieur peut fonctionner en mode Raster Chart Display System (RCDS) lorsque l'information graphique approprié n'est pas disponible en mode vecteur.
Les modifications aux normes de performance du SEVCM indiquent quelles normes de rendement pour vecteurs graphiques s'appliquent également aux cartes matricielles et ajouter des spécifications particulières pour les graphiques raster, couvrant des aspects tels que les exigences, alarmes et indicateurs, disposition et mise à jour des informations du tableau d'affichage et itinéraire de planification. Les amendements précisent que lorsqu'il est utilisé en mode RCDS, appareil ECDIS intérieur devrait servir avec un folio approprié de cartes papier à jour.
Le SMC au cours de ses sessionalso 70e a accepté une sécurité de Navigation circulaire sur les différences entre les systèmes de visualisation des cartes Raster (RCDS) et de visualisation des cartes électroniques et de systèmes d'Information (ECDIS).
Graphiques et données hydrographiques
Tous les navires sont tenus de porter « graphiques adéquates et à jour » en vertu de la Convention SOLAS, chapitre V (règlement 20) pour aider à la navigation.
À l'heure actuelle, la Convention internationale pour la sauvegarde de la vie humaine en mer (Convention SOLAS) ne spécifie pas de responsabilités gouvernementales pour produire des graphiques, mais en 1983, l'OMI a adopté une résolution faisant référence à l'importance de la fourniture d'informations hydrographiques précises et à jour de sécurité de la navigation et le fait que plusieurs régions n'avaient pas été contrôlées aux normes modernes.
La résolution invite les gouvernements à effectuer des levés hydrographiques et à coopérer avec d'autres gouvernements, le cas échéant. Ceci a été suivi en 1985 par une résolution exhortant les gouvernements membres de l'OMI pour établir les commissions hydrographiques régionales ou de groupes de graphiques et de soutenir les groupes déjà mis en place par l'Organisation hydrographique internationale (OHI) pour préparer des cartes exactes.
La résolution a été adoptée après la représentation de l'OHI, qui avait informé l'OMI de l'insuffisance des cartes marines, de nombreuses zones de la mer en raison de la dépendance à l'égard des levés hydrographiques vieux et noter que, afin d'élaborer des cartes à jour pour ces zones, substantielle coopération technique devrait être fournie entre développés et en développement sur une base régionale, les États côtiers.
Dans la version révisée du chapitre V de la Convention SOLAS, entrée en vigueur en 2002, le règlement 9 hydrographique services États :
-Gouvernements contractants s'engagent à prendre des dispositions pour la collecte et la compilation des données hydrographiques et de la publication, diffusion et tenue à jour de toutes les informations nautiques nécessaires à la sécurité de la navigation.
-En particulier, les gouvernements contractants s'engagent à coopérer dans l'exécution, dans la mesure du possible, les services nautiques et hydrographiques suivants, la manière la plus appropriée en vue d'aider la navigation :.1 pour s'assurer que levés hydrographiques s'exerce, autant que possible, appropriée aux exigences de sécurité de la navigation ;.2 à préparer et émettre des cartes marines, instructions, nautiques répertorie des lumières , tide tables et autres publications nautiques, le cas échéant, satisfaire aux besoins de sécurité de la navigation ;.3 pour promulguer les avis aux navigateurs afin que des cartes marines et les publications sont conservées, dans la mesure du possible, jusqu'à date ; et.4 pour fournir les modalités de gestion de données à l'appui de ces services.
-Maître gouvernements s'engagent à assurer la plus grande uniformité possible dans les cartes et publications nautiques et de prendre en compte, autant que possible, aux résolutions internationales pertinentes et les recommandations. (on entend les résolutions appropriées et les recommandations adoptées par l'Organisation hydrographique internationale.
-Gouvernements contractants s'engagent à coordonner leurs activités dans toute la mesure possible afin de s'assurer que les renseignements hydrographiques et nautiques sont communiqués à une échelle mondiale à l'échelle aussi rapide, fiable et sans ambiguïté possible.